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教皇宫(法语:Palais des Papes)是座落于法国南部城市阿维尼翁的一座古老宫殿,為欧洲最大、最重要的中世纪哥特式建筑[1]。教皇宫不仅是教皇的宫殿,也是一座要塞。在十四世纪期间,阿维尼翁教皇宫是天主教教廷的所在地[N 1]。历史上有六次的教宗选举是在阿维尼翁教皇宫举行的,分别选出了本篤十二世(1334年)、克雷芒六世(1342年)、依諾增爵六世(1352年)、烏爾巴諾五世(1362年)、額我略十一世(1370年)和本篤十三世(1394年,对立教宗)。
教皇宫由内外两层建筑构成。分别是于本笃十二世时期建造的要塞式的旧宫,以及阿维尼翁教皇中最为奢侈的克莱孟六世时期在旧宫基础上扩建的新宫。教皇宫不仅是欧洲最宏大的哥特式建筑,同时也从各方面显示出了国际哥特式的风格。无论在建筑还是装饰方面,教皇宫都集中了当时代顶尖的大师的成就。其中包括了十四世纪法国著名的建筑师,皮埃尔·裴松以及让·德鲁夫,以及锡耶纳学派的壁画大师,西蒙涅·马尔蒂尼和马提欧·吉奥凡尼提。1995年,教宗宫和阿维尼翁历史中心被列为世界遗产[2]。
アヴィニョン教皇庁(フランス語: Palais des papes d'Avignon, ラテン語: Palatium paparum)は、1309年から1377年まで7代にわたる教皇のアヴィニョン捕囚から教会大分裂の時代、南フランスのアヴィニョンに設けられていた教皇宮殿(教皇庁)。
アヴィニョンに教皇が遷座された原因は、1303年の教皇ボニファティウス8世の死後、枢機卿団が分裂して教皇選挙の実施に困難が生じたこと、および、アナーニ事件の事後処理に絡んでフランス王フィリップ4世(端麗王)の干渉に求められるが、これらに加えイタリア半島における教皇領での無政府状態がそれに拍車をかけた[1]。
ローマ教会とフランス王国の対立における中立派として教皇に選出されたボルドー司教のクレメンス5世は1309年、フィリップ端麗王の干渉の下でのローマ入城を諦め、気に入った滞在先を求めてフランス中を旅した[1][2]。そして結局、一度もローマを訪れることなく、プロヴァンス伯領内にあり、現在は南仏ヴォクリューズ県の県庁所在地となっているアヴィニョンのドミニコ会修道院に落ち着き、そこに教皇庁を仮設した[1][2]。
続くヨハネス22世、ベネディクトゥス12世、クレメンス6世の3教皇は、アヴィニョンに城砦風の大宮殿と市街を取り囲む城壁の建造を進め、1348年、プロヴァンス女伯(兼ナポリ女王)ジョヴァンナが8万フローリンにものぼる金貨でアヴィニョン全市を購入、次のインノケンティウス6世の在位期間のうちに、難攻不落をめざした教皇領都市の建設が完遂した[1]。ベネディクトゥス12世はまた、アヴィニョンに図書館を設置する事業に取り組んでいる[3][注釈 1]。3教皇は同時に、教会組織における行政、司法、財政の諸改革を進めてそれぞれの機関も整備拡充され、南仏の金融活動や商工業とも結びついて、百年戦争であえぐフランス王国の窮乏を尻目に、それとはまったく対照的な隆盛と繁栄のときを迎えた[1][注釈 2]。
さらに、貧しい学生の支援に力を入れ、各地に大学を創設した教皇ウルバヌス5世や、同様に学芸の保護者として活動したグレゴリウス11世の時代には、クレメンス6世以降導入された優美なパリ風の宮廷文化とヒューマニズムが花ひらき、当時のヨーロッパ文化の一大中心地となり栄えた[1]。
なお、宮殿のうち「旧宮殿」はベネディクトゥス12世が旧司教館を取り壊させて同郷のミルポワ出身のピエール・ポアソンに依頼して築いたものであり、それに対しクレメンス6世がイル=ド=フランスの建築家ジャン・ド・ルーヴルに命じて築かせたのが「新宮殿」である[4]。
その一方で、教皇のローマ帰還の可能性は全期間を通じて、常に高まりを見せていた[1]。ルネサンスの詩人としてつとに有名なペトラルカ、あるいは「聖女」として知られていたドミニコ会修道女のシエナのカタリナらからの強い請願もあり、1367年から1370年にかけて、アヴィニョン教皇は経済力と軍事力を蓄積した上で一時ローマに復帰した[1][5]。そして1377年、ようやく正式に教皇のローマ帰還は実現にいたった[1]。しかしその後、枢機卿団は再度分裂し、フランス人教皇グレゴリウス11世がローマの民衆からひどい非難を浴びてアヴィニョンに戻り、クレメンス7世からベネディクトゥス13世にいたる教会大分裂の時代には、再びアヴィニョン教皇庁が利用された[1][5]。
The Palais des Papes (English: Palace of the Popes, lo Palais dei Papas in Occitan) is an historical palace located in Avignon, southern France. It is one of the largest and most important medieval Gothic buildings in Europe. Once a fortress and palace, the papal residence was the seat of Western Christianity during the 14th century. Six papal conclaves were held in the Palais, leading to the elections of Benedict XII in 1334, Clement VI in 1342, Innocent VI in 1352, Urban V in 1362, Gregory XI in 1370 and Antipope Benedict XIII in 1394.
Le Palais des papes d'Avignon est la plus grande des constructions gothiques du Moyen Âge1.
À la fois forteresse et palais, la résidence pontificale fut pendant le XIVe siècle le siège de la chrétienté d'OccidentN 1. Six conclaves se sont tenus dans le palais d'Avignon qui aboutirent à l'élection de Benoît XII, en 1335 ; de Clément VI, en 1342 ; d'Innocent VI, en 1352 ; d'Urbain V, en 1362 ; de Grégoire XI, en 1370, et de Benoît XIII, en 1394.
Le palais, qui est l'imbrication de deux bâtiments, le palais vieux de Benoît XII, véritable forteresse assise sur l'inexpugnable rocher des Doms, et le palais neuf de Clément VI, le plus fastueux des pontifes avignonnais, est non seulement le plus grand édifice gothique mais aussi celui où s'est exprimé dans toute sa plénitude le style du gothique international. Il est le fruit, pour sa construction et son ornementation, du travail conjoint des meilleurs architectes français, Pierre Peysson et Jean du Louvres, dit de Loubières, et des plus grands fresquistes de l'école siennoise, Simone Martini et Matteo Giovanetti.
De plus la bibliothèque pontificale d'Avignon, la plus grande d'Europe à l'époque avec 2 000 volumes, cristallisa autour d'elle un groupe de clercs passionnés de belles-lettres dont allait être issu Pétrarque, le fondateur de l'humanisme. Tandis que la chapelle clémentine, dite Grande Chapelle, attira à elle compositeurs, chantres et musiciens2. Ce fut là que Clément VI apprécia la Messe de Notre-Dame de Guillaume de Machault, que Philippe de Vitry, à son invité, put donner la pleine mesure de son Ars Nova et que vint étudier Johannes Ciconia.
Le palais fut aussi le lieu qui, par son ampleur, permit « une transformation générale du mode de vie et d'organisation de l'Église ». Il facilita la centralisation des services et l'adaptation de leur fonctionnement aux besoins pontificaux en permettant de créer une véritable administration3. Les effectifs de la Curie, de 200, à la fin du XIIIe siècle, étaient passés à 300 au début du XIVe siècle, pour atteindre 500 personnes en 1316. À cela s'ajoutèrent plus d'un millier de fonctionnaires laïcs qui purent œuvrer à l'intérieur du palais4.
Pourtant celui-ci qui, par sa structure et son fonctionnement, avait permis à l'Église de s'adapter « pour qu'elle puisse continuer à remplir efficacement sa mission3 » devint caduc quand les pontifes avignonnais jugèrent nécessaire de revenir à Rome. L'espoir d'une réconciliation entre les christianismes latin et orthodoxe, joint à l'achèvement de la pacification des États pontificaux en Italie, avaient donné des bases réelles à ce retourN 2.
À cela se joignit la conviction, pour Urbain V et Grégoire XI, que le siège de la papauté ne pouvait être que là où se trouvait le tombeau de Pierre, le premier pontife. Malgré les difficultés matérielles, l'opposition de la Cour de France et les fortes réticences du Collège des cardinaux, tous deux se donnèrent les moyens de rejoindre Rome. Le premier quitta Avignon le 30 avril 1362, le second le 13 septembre 1376 et cette fois l'installation fut définitive5.
En dépit du retour de deux antipapes, lors du Grand Schisme d'Occident, de la présence constante du XVe siècle au XVIIIe siècle de cardinaux-légats puis de vice-légats, le palais perdit toute sa splendeur d'antan mais conserva, en dehors de « l'œuvre de destruction » cet aspect que rapporte Montalembert.
« On ne saurait concevoir un ensemble plus beau dans sa simplicité, plus grandiose dans sa conception. C'est bien la papauté tout entière, debout, sublime, immortelle, étendant son ombre majestueuse sur le fleuve des nations et des siècles qui roule à ses pieds. »
— Charles de Montalembert, Du vandalisme en France - Lettre à M. Victor Hugo6
Le Palais des papes est classé monument historique sur la première liste des Monuments historique en 18408. Par ailleurs, depuis 1995, il est classé avec le centre historique d'Avignon, sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco, avec les critères culturels i, ii et iv9.
Il Palazzo dei Papi (in francese: Palais des Papes) di Avignone, in Francia è uno dei più grandi e importanti edifici gotici medievali in Europa.
Dal 1840 è monumento storico di Francia[1] e dal 1995 patrimonio mondiale dell'umanità[2].
Il palazzo venne costruito tra il 1335 e il 1364 sul naturale affioramento roccioso all'estremità nord-orientale della città, dominante il fiume Rodano. Al momento del suo completamento, occupava una superficie di 2,6 acri (11.000 m²). L'edificio fu incredibilmente costoso, e consumò gran parte delle entrate del papato durante la sua costruzione.
El palacio de los papas (en francés, palais des papes) en Aviñón (Francia) es uno de los edificios góticos más grandes e importantes medievales de Europa. Es uno de los muchos lugares a los que se llama «Palacio de los Papas». Se realizaron en el palacio seis cónclaves en los cuales se llevaron a cabo las elecciones de Benedicto XII (1335), Clemente VI (1342), Inocencio VI (1352), Urbano V (1362), Gregorio XI (1370) y Benedicto XIII (1394). El palacio, que está entrecruzado por dos edificios, es el antiguo palacio de Benedicto XII, una fortaleza asentada en la inexpugnable piedra de Amos, y el nuevo palacio de Clemente VI, el más suntuoso de los papas de Aviñón, ya que no solo es el más edificio gótico más grande, sino también en donde se expresa toda la plenitud del estilo del gótico internacional. Es el producto de la construcción y ornamentación de la labor conjunta de los mejores arquitectos franceses, Pierre Peysson y Jean du Louvres —asegura Jean de Loubières—, y los más importantes pintores de frescos de la escuela sienesa, Simone Martini y Matteo Giovanetti.
En 1840 fue objeto de una clasificación como monumento histórico por la lista de 1840.
Forma parte del Patrimonio de la Humanidad desde el año 1995, junto con el Petit Palais, la catedral y puente sobre el Ródano, además del antiguo recinto amurallado. Desde el año 2007 es considerado como Patrimonio europeo.1
Папский дворец (фр. Palais des papes d'Avignon) — памятник истории и архитектуры в Авиньоне, Франция. Объект Всемирного наследия ЮНЕСКО и один из крупнейших дворцов в Европе. Место проведения ежегодного театрального фестиваля.


Assisi ist eine Stadt mit 28.379 Einwohnern (Stand 31. Dezember 2016) im mittelitalienischen Umbrien in der Nähe der Regionalhauptstadt Perugia. Sie ist Geburtsort des Hl. Franz von Assisi (auch Hl. Franziskus), des Gründers der Minderen Brüder (heute: Franziskaner oder Minoriten) und der Hl. Klara, der Gründerin des Klarissenordens.
Das mittelalterliche Stadtbild mit Stadtmauer und Festungsruine Rocca Maggiore ist noch gut erhalten und wurde im Jahr 2000 zum Weltkulturerbe der UNESCO ernannt.
阿西西 (意大利语:Assisi,天主教中文译作“亚西西”)是意大利翁布里亚大区佩鲁贾省的一个城市,位于苏巴修山的西侧。
阿西西是亚西西的方济各的诞生地,他于1208年在此创立方济各会;也是亚西西的圣嘉勒的出生地,她创立了贫穷修女会。19世纪的痛苦圣母加俾额尔也出生在这里。
2000年,亚西西的圣方济各圣殿和其他方济各会建筑被列为世界遗产。
1986年以来,世界宗教领导人会议不定期举行。
Assisi (Italian pronunciation: [asˈsiːzi], from the Latin: Asisium) is a town and comune of Italy in the Province of Perugia in the Umbria region, on the western flank of Monte Subasio.
It is generally regarded as the birthplace of the Latin poet Propertius, born around 50–45 BC. It is the birthplace of St. Francis, who founded the Franciscan religious order in the town in 1208, and St. Clare (Chiara d'Offreducci), the founder of the Poor Sisters, which later became the Order of Poor Clares after her death. The 19th-century Saint Gabriel of Our Lady of Sorrows was also born in Assisi.
Assise (en italien Assisi) est une ville italienne d'environ 28 100 habitants, située dans la province de Pérouse (Perugia) en Ombrie (Umbria).
Assise est surtout célèbre pour son apogée médiéval et pour être le lieu de naissance et de mort de Francesco Bernardone, plus connu sous le nom de François d'Assise, un des plus grands saints de l'Église catholique romaine. Pour son patrimoine exceptionnel, la ville est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco.
Assise a été le siège de plusieurs rencontres interreligieuses, connues sous le nom de rencontres d'Assise, en 1986, 1993, 2002, et 2011.
Asís (en latín: Asisium, en italiano: Assisi) es una ciudad y comune en la provincia de Perugia región de Umbría, en Italia.
Según el censo de 2007, la municipalidad contaba con 26.000 habitantes en un término municipal de 187 km². La ciudad en sí cuenta con una población de cerca de 5.500 personas. Tras las elecciones de 2006, el ayuntamiento está regido por Claudio Ricci (PdL).
Sede episcopal relevante, es además la ciudad donde nacieron san Francisco de Asís, fundador en 1208 de la orden Franciscana o "franciscanos", y santa Clara de Asís (Chiara d’Offreducci), fundadora de la Orden de las hermanas pobres de Santa Clara o "clarisas".
阿音札鲁特战役(Battle of Ain Jalut, معركة عين جالوت),亦作艾因札鲁特战役,是1260年9月3日在巴勒斯坦北部进行的一场战役,对战双方是穆斯林的埃及马木留克王朝和西进至巴勒斯坦的蒙古帝国军队,该战役以埃及军队全胜而告终,这也宣布蒙古帝国未能进一步向西侵略到非洲。
Die Schlacht bei ʿAin Dschālūt (arabisch معركة عين جالوت, DMG Maʿrakat ʿAin Ǧālūt; der Ort wird im englischen Schrifttum auch Ayn Djalut geschrieben), fand am 3. September 1260 zwischen den Mamluken von Ägypten und den Mongolen in Palästina nordwestlich des Bergs Gilboa statt, in der Gegend des heutigen En Harod. Sie endete mit einem entscheidenden Sieg der Mamluken. Dies war die erste militärische Niederlage, die das Mongolische Reich hinnehmen musste.


Aśoka (Sanskrit: अशोक, Aśoka; * 304 v. Chr. in Nord-Indien; † 232 v. Chr.; auch: Ashoka der Große) war ein Herrscher der altindischen Dynastie der Maurya. Er regierte von 268 bis 232 v. Chr. und war ein Enkel des Dynastiegründers Chandragupta Maurya, der im nordostindischen Reich Magadha (Gebiet des heutigen Bihar) und Kernland des frühen Buddhismus die Grundlagen für das größte Reich der indischen Antike gelegt hatte.
阿输迦·孔雀(梵语:अशोक मौर्य,IAST:Aśoka Maurya,约公元前304年—前232年[4][5]),常简称阿育王(अशोक,Aśoka,音译阿输迦,意译无忧,故又称无忧王)印度孔雀王朝的第三代君主,是频头娑罗王之子。他是一位佛教徒,也带来佛教的繁荣,后世称为佛教护法[6]。
阿育王是印度伟大的国王之一。在多次的战争之后,阿育王在公元前269年至232年的期间统治了印度次大陆大部分的土地[7]。王朝的版图扩张到现在的阿富汗及今天的孟加拉,也可能达到伊朗的东部,东边则到印度的阿萨姆邦,南方则到喀拉拉邦及安得拉邦的北部。王国的首都是塔克西拉、邬阇衍那及巴连弗邑。

Die Höhlen liegen in einem Talkessel etwa 4 km (Luftlinie) westlich der Kleinstadt Ajanta (Marathi अजिंठा, Ajiṇṭhā) im Norden des indischen Bundesstaates Maharashtra. Die nächste Stadt mit einer Bahnstation, Jalgaon, ist rund 77 km entfernt, doch meist werden die Höhlen im Rahmen einer Tagestour zusammen mit denen von Ellora von der knapp 100 km südlich gelegenen Stadt Aurangabad angefahren. Von dort verkehren auch öffentliche Busse und Taxis.
In einem steil durch den – nur in und nach der Monsunzeit wasserführenden – Fluss Waghora in den Fels eingeschnittenen, U-förmigen Tal findet man zahlreiche in den Fels getriebene, große Höhlentempel.
Vom 2. Jahrhundert vor bis zum Ende des 7. Jahrhunderts nach der Zeitenwende war das Tal von buddhistischen Mönchen bewohnt. Während der Vakataka-Dynastie im 5. Jahrhundert wurden die meisten Höhlen gebaut, wenngleich die Vertreter des Vakataka als Anhänger des Brahmanismus selbst nicht Hand anlegten. Die Baumeister waren anfänglich die Mönche selbst; später wurden die einfachen, vielleicht aber auch Teile der komplizierteren Arbeiten von geschulten und bezahlten Steinmetzen erledigt. Nach offizieller Zählung des Archaeological Survey of India wurden 29 große Höhlen in den Fels getrieben; diese waren bis zu 30 m breit und tief (Höhle 4) und ca. 4 bis 8 m hoch. Aus verschiedenen Gründen (schmucklose Stützen und Architrav, anikonischer Stupa) kann man davon ausgehen, dass die Höhle 10 die älteste aller Höhlen von Ajanta ist und im 2. Jahrhundert v. Chr. geschaffen wurde. Die Bauphasen und Meißelzeiten schwanken je nach Größe und Dekor pro Höhle zwischen 1 und 5 Jahren. Im 7./8. Jahrhundert erreichte eine Welle der Feindlichkeiten gegen Buddhisten in ganz Indien auch dieses abgeschiedene Tal. Die Mönche wurden vertrieben; die Höhlen gerieten in Vergessenheit und wurden im Laufe der Zeit vom Verwitterungsschutt der darüberliegenden Felswände verdeckt.
Im April 1819 passierte eine Truppeneinheit der britischen Madras-Armee das Ajanta-Ghat. Während einer Tigerjagd ergründete der britische Kavallerieoffizier John Smith die kaum zugängliche Schlucht und entdeckte die seit Jahrhunderten verwaisten Höhlentempel (in Höhle 10 hinterließ er eine kurze Inschrift). Weitere Höhlen wurden nach und nach freigelegt.[1]
Von den insgesamt 29 Höhlen sind nur vier (Nrn. 9, 10, 19 und 26) als längserstreckte Hallenräume reine Kulthöhlen (chaityas). Die meisten anderen Höhlen sind Wohnhöhlen (viharas) mit einem Kultbildraum für eine Buddhafigur oder sogar reine Wohnhöhlen. Die gemischten Wohnhöhlen mit Kultbildraum bestehen oft aus einer quergelagerten Vorhalle mit Stützenstellung und einer anschließenden Stützenhalle mit Umgang, von dem die Zellen abgehen. Die Eingangsseite hat meist einige Fenster. In der Achse des Eingangs befindet sich ein mit Stützenstellung abgetrennter Raum für eine raumhohe Buddhafigur, in einigen Höhlen zusätzlich mit einem Vorraum. Die quadratischen aber auch rechteckigen Wohnhöhlen sind oft breiter als tief, wohingegen die dreischiffigen, im hinteren Bereich abgerundeten reinen Kulthöhlenhallen insgesamt eher schmal, aber sowohl tiefer als auch höher als die Wohnhöhlen sind – bei ihnen werden Anlehnungen an die ältere, aber nicht erhaltene Holzbauweise deutlich (z. B. in den Dachsparren). Beim Betreten der gemischten vihara-Höhlen wird der Blick meist auf eine gegenüberliegende Nische mit einer aus dem Fels gehauenen sitzenden Buddha-Statue gelenkt; der Blickfang in den chaitiya-Höhlen ist dagegen ein Stupa mit einer manchmal davor befindlichen Buddha-Statue.
阿旃陀石窟(अजिंठा-वेरूळची लेणी;Ajinṭhā-verūḷacī leṇī),《大唐西域记·摩诃剌侘国》称之为阿折罗伽蓝及石窟,是一个位于印度的佛教石窟群,也是印度最大的石窟遗址。阿旃陀石窟位于马哈拉施特拉邦北部文达雅山的悬崖上,大约建于公元前2世纪至公元后7世纪期间建造。石窟始建时,正值阿育王时代。石窟内的壁画及雕塑被视为是佛教艺术及世界绘画艺术里的经典[1][2]。
石窟主要由举行佛教仪式的支提(chaitya,塔庙,9,10,19,26,29号窟)与供僧侣修行用的毗诃罗(vihara,精舍、僧房之意)两种类型,共有29座石窟。一号石窟的释迦牟尼雕像正面表现沉思、左面表现微笑、后面表现凝视,其拱门及石柱上雕刻有飞天仙女,大厅墙壁绘有五百罗汉像。
石窟位于德干高原的温迪亚山脉的上,距离阿金萨(Ajintha)村3.5公里处,在一个林木茂盛的马蹄形溪谷中。较近的城镇有60公里远的加尔冈和70公里远的布萨瓦尔。河谷底部是瓦格河(Waghur)。根据印度官方考古调查的数字,沿途有29个洞窟,分布在河谷南侧陡峭的岩壁上,距离河面大约35到110英尺。
每个石窟的大小不一,最大可达52英尺。一般是方形的,内部装饰差别很大,有的简单有的富丽,有的带有门廊。每个石窟都有一个厅堂,在早期部派佛教时期的洞窟里不一定有佛龛,因为那时洞窟主要用于居住和集会;后期,佛龛常见于后墙,一般塑有说法相(又称持法轮印)的佛像;在最近期的洞窟里,两侧的墙上、门廊上、前庭也出现了佛像。洞窟的正面一般都装饰有雕刻,内墙和天花板则装饰有壁画。

Die Azteken (von Nahuatl aztecatl, deutsch etwa „jemand, der aus Aztlán kommt“) waren eine mesoamerikanische Kultur, die zwischen dem 14. und dem frühen 16. Jahrhundert existierte. Im Allgemeinen bezeichnet man mit dem Begriff „Azteken“ die ethnisch heterogene, mehrheitlich Nahuatl sprechende Bevölkerung des Tals von Mexiko; im engeren Sinne sind damit aber nur die Bewohner von Tenochtitlán und der beiden anderen Mitglieder des sogenannten „Aztekischen Dreibundes“, der Städte Texcoco und Tlacopán, gemeint.
Ab dem späten 14. Jahrhundert weiteten die Azteken im Laufe der Jahre ihren politischen und militärischen Einfluss auf die umliegenden Städte und Völker aus, die nicht direkt dem Reich angegliedert, sondern zur Zahlung von Tributen gezwungen wurden. Auf dem Höhepunkt ihrer Macht kontrollierten sie weite Teile Zentralmexikos mit dem Tal von Mexiko als Zentrum. Zwischen 1519 und 1521 wurden die Azteken schließlich von den Spaniern unter Hernán Cortés unterworfen.
Die Azteken bezeichneten sich selbst meist als Mexica [meːˈʃiʔkaʔ], nach dem Namen des Ortes oder der Region Mexico – der Ursprung des heutigen Ländernamens Mexiko – bzw., nach ihren Siedlungsplätzen Tlatelolco und Tenochtitlán, auch Tlatelolca [tɬateˈloːlkaʔ] und Tenochca [teˈnoːtʃkaʔ]. In alten Quellen wird der Begriff „Azteken“ nur im Zusammenhang mit dem mythischen Herkunftsort Aztlán verwendet. Der erste, der ihn in moderner Zeit benutzte, war der Jesuit Francisco Javier Clavijero im 18. Jahrhundert; bekannt wurde er jedoch erst durch Alexander von Humboldt.
阿兹特克或阿兹台克是存在于14世纪至16世纪的墨西哥古文明,主要分布在墨西哥中部和南部,因阿兹特克人而得名。阿兹特克人包括墨西哥谷地的多个民族,以操纳瓦特尔语的族群为主。阿兹特克文明在政治上的基本单位是城邦,有些城邦组成政治联盟或政治邦联。其中,1427年建立的阿兹特克帝国最具影响力,帝国由墨西加城邦特诺奇蒂特兰、阿科尔瓦城邦特斯科科以及特帕内克城邦特拉科潘组成,政治影响力深远,领土范围极盛时东抵墨西哥湾,西至太平洋,南达恰帕斯和危地马拉。由于其强大的历史影响力,“阿兹特克”在狭义上常特指阿兹特克帝国;但广义来说,在殖民者入侵之前抑或是在西班牙殖民时代,中部美洲的所有纳瓦人政体和族群都可划作阿兹特克文明的一部分[1][2]。
阿兹特克人于约12世纪末由北方迁入墨西哥谷地,这里人口稠密,后来成为阿兹特克城邦崛起的中心。墨西加人是阿兹特克人的主要分支,他们在特斯科科湖中的岛礁建立起特诺奇蒂特兰城邦,并定居于此。1427年,特诺奇蒂特兰和特斯科科、特拉科潘结盟,联合击退了曾支配谷地的特帕内克城邦阿斯卡波察尔科。此三邦的联盟在后世被称为阿兹特克帝国,在随后的百余年内通过武力和贸易攻势展开扩张,成长为中部美洲势力范围最庞大的城邦联盟[3]。尽管被称为帝国,阿兹特克帝国事实上是一个以朝贡体系为基础的“朝贡帝国”,依托于扶植傀儡君主、政治联姻以及思想控制的方式间接控制其他城邦,强制其定期向宗主进贡,并不以军事驻防的方式实行直接统治[4]。帝国借此限制各邦同外部的贸易联系,使其属邦越发依赖帝国中央[5]。1519年,阿兹特克帝国的领土达到极盛,但一年后即迎来了欧洲人的历史性的访问。1520年,西班牙殖民者埃尔南·科尔特斯一行抵达中部美洲。科尔特斯利用中部美洲城邦间的矛盾,和阿兹特克的敌对城邦结盟,在1521年攻陷特诺奇蒂特兰,俘获并处决特拉托阿尼夸乌特莫克,并在特诺奇蒂特兰的废墟之上建起了现代墨西哥城。科尔特斯以此为中心实现对中部美洲全境的征服和殖民,将之纳入西班牙殖民帝国[6]。
近现代对阿兹特克文明的大规模研究始于19世纪,随着考古发掘和文献研究工作的进行,阿兹特克文明的文化、艺术和宗教逐渐为世人所了解。除了考古工作发现的古建筑和古物件外,既有的书面文献也起到重要作用,包括原住民手抄本、西班牙征服者的纪实文学,以及16世纪和17世纪由西班牙牧师或是有读写能力的阿兹特克人编撰的文化和历史文献等。十二卷手抄本佛罗伦萨手抄本是其中较为著名的文献,由方济各会修士贝尔纳迪诺·德萨阿贡结合一些阿兹特克人的描述写成,完整全面地记录了阿兹特克文明的文化、宗教、社会、经济和历史样貌。
德国地理学家冯·洪堡在19世纪早期率先用“阿兹特克”一词指代中部美洲纳瓦人以贸易、习俗、宗教、语言或政治联盟为纽带联系起来的文明集合体,“阿兹特克”一词就此被学界广泛接受和使用。不过,阿兹特克的具体界定也仍是一直以来学术讨论的主题之一[7]。根据中部美洲历史的断代法共识,900年至1521年的后古典时期内,中部美洲的绝大部分族群都拥有大体类似的文化烙印。因此,大部分普遍认为象征阿兹特克文明的文化元素并不是阿兹特克帝国的专属,因此对“阿兹特克文明”概念更贴切的理解是一种普遍存在的中部美洲文化体系[8],其农业以玉米栽培为主,社会形成皮尔利贵族和马塞瓦尔利平民的阶级分野,崇拜以特斯卡特利波卡、特拉洛克和克察尔科亚特尔为主的神系,历法系统由365天一周期的太阳历内嵌260天一周期的神圣历组成。与之相对应地,守护神祇维齐洛波奇特利、双子金字塔和阿兹特克陶制品则是阿兹特克人独有的文化符号[8]。现代墨西哥国家建立后,阿兹特克文化作为其国土上曾存在的重要文化而成为其现代国家认同的根基之一。特诺奇蒂特兰建城传说中雄鹰衔长蛇立于仙人掌之上的经典场面出现在墨西哥国旗和国徽上,为其重要的国家象征之一。
アステカ(Azteca、古典ナワトル語: Aztēcah)とは1428年頃から1521年までの約95年間北米のメキシコ中央部に栄えたメソアメリカ文明の国家。メシカ(古典ナワトル語: mēxihcah メーシッカッ)、アコルワ、テパネカの3集団の同盟によって支配され、時とともにメシカがその中心となった。言語は古典ナワトル語(ナワトル語)。
The Aztecs (/ˈæztɛks/) were a Mesoamerican culture that flourished in central Mexico in the post-classic period from 1300 to 1521. The Aztec peoples included different ethnic groups of central Mexico, particularly those groups who spoke the Nahuatl language and who dominated large parts of Mesoamerica from the 14th to the 16th centuries. Aztec culture was organized into city-states (altepetl), some of which joined to form alliances, political confederations, or empires. The Aztec empire was a confederation of three city-states established in 1427, Tenochtitlan, city-state of the Mexica or Tenochca; Texcoco; and Tlacopan, previously part of the Tepanec empire, whose dominant power was Azcapotzalco. Although the term Aztecs is often narrowly restricted to the Mexica of Tenochtitlan, it is also broadly used to refer to Nahua polities or peoples of central Mexico in the prehispanic era,[1] as well as the Spanish colonial era (1521–1821).[2] The definitions of Aztec and Aztecs have long been the topic of scholarly discussion, ever since German scientist Alexander von Humboldt established its common usage in the early nineteenth century.[3]
Most ethnic groups of central Mexico in the post-classic period shared basic cultural traits of Mesoamerica, and so many of the traits that characterize Aztec culture cannot be said to be exclusive to the Aztecs. For the same reason, the notion of "Aztec civilization" is best understood as a particular horizon of a general Mesoamerican civilization.[4] The culture of central Mexico includes maize cultivation, the social division between nobility (pipiltin) and commoners (macehualtin), a pantheon (featuring Tezcatlipoca, Tlaloc and Quetzalcoatl), and the calendric system of a xiuhpohualli of 365 days intercalated with a tonalpohualli of 260 days. Particular to the Mexica of Tenochtitlan was the patron God Huitzilopochtli, twin pyramids, and the ceramic ware known as Aztec I to IV.[5]
From the 13th century, the Valley of Mexico was the heart of dense population and the rise of city-states. The Mexica were late-comers to the Valley of Mexico, and founded the city-state of Tenochtitlan on unpromising islets in Lake Texcoco, later becoming the dominant power of the Aztec Triple Alliance or Aztec Empire. It was a tributary empire that expanded its political hegemony far beyond the Valley of Mexico, conquering other city states throughout Mesoamerica in the late post-classic period. It originated in 1427 as an alliance between the city-states Tenochtitlan, Texcoco, and Tlacopan; these allied to defeat the Tepanec state of Azcapotzalco, which had previously dominated the Basin of Mexico. Soon Texcoco and Tlacopan were relegated to junior partnership in the alliance, with Tenochtitlan the dominant power. The empire extended its reach by a combination of trade and military conquest. It was never a true territorial empire controlling a territory by large military garrisons in conquered provinces, but rather dominated its client city-states primarily by installing friendly rulers in conquered territories, by constructing marriage alliances between the ruling dynasties, and by extending an imperial ideology to its client city-states.[6] Client city-states paid tribute to the Aztec emperor, the Huey Tlatoani, in an economic strategy limiting communication and trade between outlying polities, making them dependent on the imperial center for the acquisition of luxury goods.[7] The political clout of the empire reached far south into Mesoamerica conquering polities as far south as Chiapas and Guatemala and spanning Mesoamerica from the Pacific to the Atlantic oceans.
The empire reached its maximal extent in 1519, just prior to the arrival of a small group of Spanish conquistadors led by Hernán Cortés. Cortés allied with city-states opposed to the Mexica, particularly the Nahuatl-speaking Tlaxcalteca as well as other central Mexican polities, including Texcoco, its former ally in the Triple Alliance. After the fall of Tenochtitlan on August 13, 1521 and the capture of the emperor Cuauhtemoc, the Spanish founded Mexico City on the ruins of Tenochtitlan. From there they proceeded with the process of conquest and incorporation of Mesoamerican peoples into the Spanish Empire. With the destruction of the superstructure of the Aztec Empire in 1521, the Spanish utilized the city-states on which the Aztec Empire had been built, to rule the indigenous populations via their local nobles. Those nobles pledged loyalty to the Spanish crown and converted, at least nominally, to Christianity, and in return were recognized as nobles by the Spanish crown. Nobles acted as intermediaries to convey tribute and mobilize labor for their new overlords, facilitating the establishment of Spanish colonial rule.[8]
Aztec culture and history is primarily known through archaeological evidence found in excavations such as that of the renowned Templo Mayor in Mexico City; from indigenous writings; from eyewitness accounts by Spanish conquistadors such as Cortés and Bernal Díaz del Castillo; and especially from 16th- and 17th-century descriptions of Aztec culture and history written by Spanish clergymen and literate Aztecs in the Spanish or Nahuatl language, such as the famous illustrated, bilingual (Spanish and Nahuatl), twelve-volume Florentine Codex created by the Franciscan friar Bernardino de Sahagún, in collaboration with indigenous Aztec informants. Important for knowledge of post-conquest Nahuas was the training of indigenous scribes to write alphabetic texts in Nahuatl, mainly for local purposes under Spanish colonial rule. At its height, Aztec culture had rich and complex mythological and religious traditions, as well as achieving remarkable architectural and artistic accomplishments.
Les Aztèques, ou Mexicas (du nom de leur capitale, Mexico-Tenochtitlan), étaient un peuple amérindien du groupe nahua, c'est-à-dire de langue nahuatl.
Ils s'étaient définitivement sédentarisés dans le plateau central du Mexique, dans la vallée de Mexico, sur une île du lac Texcoco, vers le début du XIVe siècle. Au début du XVIe siècle, ils avaient atteint un niveau de civilisation parmi les plus avancés d'Amérique et dominaient, avec les autres membres de leur Triple alliance, le plus vaste empire de la Mésoamérique postclassique. Leur seul vrai rival était le royaume tarasque.
L'arrivée, en 1519, des conquistadors menés par Hernán Cortés scella la fin de leur règne. Le 13 août 1521, les Espagnols, aidés par un grand nombre d’alliés autochtones, finirent par remporter le siège de Tenochtitlan et par capturer le dernier dirigeant aztèque, Cuauhtémoc. La civilisation aztèque s'est alors rapidement acculturée à l'époque coloniale ; il en résulte un profond syncrétisme dans le Mexique actuel entre les héritages aztèques (et, plus largement, mésoaméricains) et espagnols.
Les études de cette civilisation précolombienne se fondent sur les codex mésoaméricains, livres écrits par les autochtones sur papier d'amate, les témoignages des conquistadors, comme Hernán Cortés et Bernal Díaz del Castillo, les travaux des chroniqueurs du XVIe et XVIIe siècles, comme le codex de Florence compilé par le moine franciscain Bernardino de Sahagún avec l'aide de collaborateurs aztèques, ainsi que, depuis la fin du XVIIIe siècle, les recherches archéologiques, grâce aux fouilles comme celles du Templo Mayor de la ville de Mexico.
I Mexica (pron. mescìca; Nahuatl: Mēxihcah [meːˈʃiʔkaʔ], singolare Mēxihcatl) o Mexicas — meglio noti come Aztechi nella storiografia occidentale - furono una delle grandi civiltà precolombiane, la più florida e viva al momento del contatto con gli Spagnoli. Provenienti dalla California settentrionale, si svilupparono nella regione mesoamericana dell'attuale Messico dal secolo XIV al XVI.
Il nome con cui essi stessi si indicavano è "Mexica" o "Tenochca", e non Aztechi, non a caso Mexica è tuttora il termine usato per definire i loro discendenti; il termine Azteco è invece stato coniato solo molti secoli dopo dal geografo tedesco Alexander von Humboldt per distinguere queste popolazioni precolombiane dall'insieme dei Messicani moderni. Spesso con il termine "azteco" ci si riferisce esclusivamente al popolo residente a Tenochtitlán (dove oggi si trova Città del Messico), situata su un'isola del lago Texcoco, che faceva riferimento a se stessa come Mēxihcah Tenochcah [meːˈʃiʔkaʔ teˈnot͡ʃkaʔ] o Cōlhuah Mēxihcah [ˈkoːlwaʔ meːˈʃiʔkaʔ].
Talvolta il termine comprende anche gli abitanti delle due principali città-stato alleate di Tenochtitlan, gli Acolhua di Texcoco e i Tepanechi di Tlacopan, che insieme con i Mexica formavano la Triplice alleanza azteca spesso conosciuta come "impero azteco". In altri contesti, "azteco" può riferirsi a tutti i vari stati della città e dei loro popoli che hanno condiviso gran parte della loro storia etnica e tratti culturali con i Mexica, con gli Acolhua e con i Tepanechi e che spesso utilizzavano la lingua nahuatl come lingua franca. In questo senso si può parlare di una civiltà azteca comprensiva di tutti i modelli culturali comuni per la maggior parte dei popoli che abitarono il Messico centrale nel periodo tardo post-Classico.
A partire dal XIII secolo, la Valle del Messico è stata il cuore della civiltà azteca; qui la capitale della Triplice alleanza azteca, la città di Tenochtitlan, fu costruita su isole nel lago Texcoco. La Triplice Alleanza formò un impero tributario che espanse la propria egemonia politica ben oltre la Valle del Messico, conquistando altre città di tutto il Mesoamerica. Al suo apice, la cultura azteca vantava ricche e complesse tradizioni mitologiche e religiose, oltre ad aver raggiunto la capacità di realizzare notevoli manufatti architettonici e artistici. Nel 1521 Hernán Cortés, conquistò Tenochtitlan e sconfisse la Triplice alleanza azteca che al momento si trovava sotto la guida di Montezuma II (vedi Conquista dell'impero azteco). Successivamente, gli spagnoli fondarono il nuovo insediamento di Città del Messico sul sito della capitale azteca in rovina; da qui poi procedettero con il processo di colonizzazione dell'America Centrale.
La cultura e la storia azteca sono conosciute principalmente attraverso le testimonianze archeologiche rinvenute negli scavi, come quello del famoso Templo Mayor a Città del Messico; da codici scritti su corteccia; da testimonianze oculari dei conquistadores spagnoli come Hernán Cortés e Bernal Díaz del Castillo; e soprattutto dalle descrizioni del XVI e XVII secolo della cultura e della storia scritti da ecclesiastici spagnoli e da letterati Aztechi, come il famoso Codice Fiorentino compilato dal frate francescano Bernardino de Sahagún con l'aiuto di informatori originari aztechi.
Los mexicas (del náhuatl mēxihcah [meː'ʃiʔkaʔ] (?·i), «mexicas»1) —llamados en la historiografía tradicional aztecas2— fueron un pueblo mesoamericano de filiación nahua que fundó México-Tenochtitlan y hacia el siglo XV en el periodo posclásico tardío se convirtió en el centro de uno de los Estados más extensos que se conoció en Mesoamérica, asentado en un islote al poniente del lago de Texcoco, sobre los márgenes centro y el sur de los lagos, como en Huexotla, Coatlinchan, Culhuacan, Iztapalapa, Chalco, Xico, Xochimilco, Tacuba, Azcapotzalco, Tenayuca y Xaltocan, hacia finales del Posclásico Temprano (900-1200),3 hoy prácticamente desecado. Sobre el islote se asienta la actual Ciudad de México, y que corresponde a la misma ubicación geográfica. Aliados con otros pueblos de la cuenca lacustre del valle de México —Tlacopan y Texcoco—, los mexicas sometieron a varias poblaciones indígenas que se asentaron en el centro y sur del territorio actual de México agrupados territorialmente en altépetl.
Los mexicas se caracterizaban por la explotación de cultivos altamente simbióticos (dependencia a la manipulación humana,4556 como maíz, chile, calabaza, frijol, etc.), el uso extensivo de plumas para la confección de vestimentas, el uso de calendarios astronómicos (uno ritual de 260 días y un civil de 365), una sofisticada metalurgia prehispánica ornamental y militar basada principalmente en el bronce, oro y plata;7 una escritura en forma de pictogramas el cual era usado para la documentación de hechos y el cálculo de obras arquitectónicas el cual estaba basado en un sistema métrico propio,8 que para mediciones de terrenos es comparable con otros sistemas de medida de la Edad Moderna,9 el uso extensivo de productos derivados de las cactáceas y agaves, y el uso de cerámico ígneo (obsidiana) para fines quirúrgicos y bélicos.
Ацте́ки, или асте́ки[1] (самоназв. mēxihcah [meː'ʃiʔkaʔ]), — индейский народ в центральной Мексике. Численность современных науа, как ещё называют ацтеков, — свыше 1,5 млн человек. Цивилизация ацтеков (XIV—XVI века) обладала богатой мифологией и культурным наследием. Столицей империи ацтеков был город Теночтитлан, расположенный на озере Тескоко, там, где сейчас располагается город Мехико.