00:00 La Mamma 04:07 Comme ils Disent 09:33 Les comédiens 12:05 Sa jeunesse 15:26 Hier encore 18:32 She 20:51 La bohème 24:11 Nous nous reverrons un jour ou l'autre 29:04 For me formidable 31:09 Love is new everyday 34:52 Emmenez-moi 38:23 Et pourtant 41:01 Mourir d'aimer 44:28 Isabelle 46:53 Ed io tra di voi 50:12 Le cabotin 54:27 Qui 57:44 Remember 1:02:54 Yes Ko Ghimetn Chim Gidi
Ensemble de 15 volumes de format in 4° illustré de 179 planches gravées et numérotées.
Cette série célèbre l’histoire monumentale de la Chine XVIIIe siècle telle qu'en témoignent les missionnaires jésuites, dans tous ses aspects, militaires, agricoles, religieux, géographiques, généalogiques. Ces ouvrage de missionnaires tels que Cibot, Bourgeois, Poirot, Ko et Yang comprend des traductions d'ouvrages de droit chinois classiques, de maximes et de proverbes, ainsi que des essais sur la linguistique chinoise, l'actualité et l'observation scientifique. C’est une encyclopédie sur la Chine à l'usage des Européens.
Points remarquables :
- Portrait gravé en frontispice de l'empereur Quianlong en premier volume.
- Le volume VII est une réimpression de l'Art militaire des Chinois d'Amiot (Paris, 1772), la première traduction dans une langue européenne de l'ancienne stratégie militaire chinoise.
- Le volume XII est entièrement consacré à la vie de Confucius avec de superbes planches.
A Day in the Life (englisch für „Ein Tag im Leben“) ist ein Lied der britischen Beatband The Beatles, das am 1. Juni 1967 auf ihrem achten Album Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band als Schlusstitel veröffentlicht wurde. Die Aufnahmen fanden am 19. und 20. Januar sowie am 3., 10. und 22. Februar 1967 in den Abbey Road Studios statt. Das Lied setzt sich aus zwei Fragmenten zusammen, die John Lennon beziehungsweise Paul McCartney jeweils eigenständig geschrieben und komponiert haben. Als Copyright-Halter wird das Duo Lennon/McCartney angegeben.
Es wurde bald zu einer Hymne der Antikriegsbewegung und zu einem ausdrucksstarken Symbol für die Opposition der Gegenkultur gegen die militärische Beteiligung der USA am Vietnamkrieg und für die Solidarität mit den Soldaten, die dort kämpften. Das Lied wurde in der Popkultur ausgiebig in Darstellungen des Vietnamkriegs und der Antikriegsbewegung verwendet.
La Sorbonne est un bâtiment du Quartier latin dans le 5e arrondissement, c'est une propriété de la ville de Paris située rue des Écoles, face à la place Paul-Painlevé et au square Samuel-Paty1. Il tire son nom du théologien et chapelain de Saint Louis, du xiiie siècle, Robert de Sorbon, le fondateur du collège de Sorbonne de l'Université de Paris, collège consacré à la théologie, dont il définit ainsi le projet : « Vivre en bonne société, collégialement, moralement et studieusement ». Ce terme de Sorbonne est aussi utilisé par métonymie pour désigner l’ancienne Université de Paris, sous l'Ancien Régime de 1200 à 1793, puis de 1896 à 1971, ainsi que les anciennes facultés des sciences (1811) et des lettres de Paris (1808) au cours du xixe siècle. La façade baroque est celle de la chapelle Sainte-Ursule, achevée en 1642. Cette dernière, déconsacrée depuis la loi de séparation des Églises et de l'État, est désormais utilisée pour des réceptions ou des expositions. La chapelle est le seul élément de l'Ancien Régime à subsister dans le complexe architectural actuel, reconstruit dans les années 1880-1900. Le Comité international olympique est fondé à la Sorbonne par Pierre de Coubertin le 23 juin 1894.
À ses origines, la Sorbonne est un collège pour étudiants en théologie fondé en 1253 au sein de l'Université de Paris par Robert de Sorbon, chapelain et confesseur du roi Saint Louis, ainsi nommé d'après son village de naissance, dans les Ardennes. Comme les autres collèges de l'université, il devait accueillir des pensionnaires pauvres qui y disposaient de bourses, ainsi que des étudiants non pensionnaires. Le collège est ainsi destiné à sa fondation à abriter une vingtaine de personnes. À cet effet, Saint Louis donna quelques maisons de la rue Coupe-Gueule, face à l'hôtel de Cluny, pour y installer les étudiants. Robert de Sorbon, par l'intermédiaire de Guillaume de Chartres achète et échange rapidement l'ensemble des abords de cette rue ; en 1260, la majorité du site actuel est aux mains du collège. Il s'agit alors d'un ensemble épars de bâtiments divers, maisons, granges, etc. disposés dans un jardin. Une grande simplicité du bâti est maintenue à dessein par le fondateur qui instaure une règle de vie pieuse et austère. En dépit des achats et constructions ultérieures, cette relative austérité reste une des caractéristiques du collège. Au début du xviie siècle, il se présentait encore comme un ensemble de bâtiments disparates édifiés le long de la rue Coupe-Gueule, désormais appelée rue de la Sorbonne, entre le cloître Saint-Benoît au nord et le collège de Calvi au sud. Il comportait une chapelle construite au xive siècle dont la façade donnait sur la rue7. Le collège de Sorbonne devint le siège des assemblées de la faculté de théologie de l'université de Paris.