Gottfried Wilhelm Leibniz (* 21. Junijul. / 1. Juli 1646greg. in Leipzig, Kurfürstentum Sachsen; † 14. November 1716 in Hannover, Kurfürstentum Braunschweig-Lüneburg) war ein deutscher Philosoph, Mathematiker, Jurist, Historiker und politischer Berater der frühen Aufklärung. Er gilt als der universale Geist seiner Zeit und war einer der bedeutendsten Philosophen des ausgehenden 17. und beginnenden 18. Jahrhunderts sowie einer der wichtigsten Vordenker der Aufklärung. Im 18. Jahrhundert wird er vielfach als „Gottfried Wilhelm Freiherr von Leibniz“ bezeichnet; jedoch fehlt bislang eine Beurkundung über eine Nobilitierung.
In frühen Schriften anderer Autoren wurde sein Nachname – analog zu demjenigen seines Vaters, Friedrich Leibnütz, und dessen väterlichen Vorfahren – auch „Leibnütz“, teils auch „Leibnitz“ (franz. Godefroi Guillaume Leibnitz) geschrieben.[1] Sein Name wurde auch in verschiedenen Versionen latinisiert, z. B. als Godefridus Guilelmus Leibnitius. Ab 1671 wählte er die Schreibweise „Leibniz“ für seinen Familiennamen.
La Sorbonne est un bâtiment du Quartier latin dans le 5e arrondissement, c'est une propriété de la ville de Paris située rue des Écoles, face à la place Paul-Painlevé et au square Samuel-Paty1. Il tire son nom du théologien et chapelain de Saint Louis, du xiiie siècle, Robert de Sorbon, le fondateur du collège de Sorbonne de l'Université de Paris, collège consacré à la théologie, dont il définit ainsi le projet : « Vivre en bonne société, collégialement, moralement et studieusement ». Ce terme de Sorbonne est aussi utilisé par métonymie pour désigner l’ancienne Université de Paris, sous l'Ancien Régime de 1200 à 1793, puis de 1896 à 1971, ainsi que les anciennes facultés des sciences (1811) et des lettres de Paris (1808) au cours du xixe siècle. La façade baroque est celle de la chapelle Sainte-Ursule, achevée en 1642. Cette dernière, déconsacrée depuis la loi de séparation des Églises et de l'État, est désormais utilisée pour des réceptions ou des expositions. La chapelle est le seul élément de l'Ancien Régime à subsister dans le complexe architectural actuel, reconstruit dans les années 1880-1900. Le Comité international olympique est fondé à la Sorbonne par Pierre de Coubertin le 23 juin 1894.
À ses origines, la Sorbonne est un collège pour étudiants en théologie fondé en 1253 au sein de l'Université de Paris par Robert de Sorbon, chapelain et confesseur du roi Saint Louis, ainsi nommé d'après son village de naissance, dans les Ardennes. Comme les autres collèges de l'université, il devait accueillir des pensionnaires pauvres qui y disposaient de bourses, ainsi que des étudiants non pensionnaires. Le collège est ainsi destiné à sa fondation à abriter une vingtaine de personnes. À cet effet, Saint Louis donna quelques maisons de la rue Coupe-Gueule, face à l'hôtel de Cluny, pour y installer les étudiants. Robert de Sorbon, par l'intermédiaire de Guillaume de Chartres achète et échange rapidement l'ensemble des abords de cette rue ; en 1260, la majorité du site actuel est aux mains du collège. Il s'agit alors d'un ensemble épars de bâtiments divers, maisons, granges, etc. disposés dans un jardin. Une grande simplicité du bâti est maintenue à dessein par le fondateur qui instaure une règle de vie pieuse et austère. En dépit des achats et constructions ultérieures, cette relative austérité reste une des caractéristiques du collège. Au début du xviie siècle, il se présentait encore comme un ensemble de bâtiments disparates édifiés le long de la rue Coupe-Gueule, désormais appelée rue de la Sorbonne, entre le cloître Saint-Benoît au nord et le collège de Calvi au sud. Il comportait une chapelle construite au xive siècle dont la façade donnait sur la rue7. Le collège de Sorbonne devint le siège des assemblées de la faculté de théologie de l'université de Paris.
Es wurde bald zu einer Hymne der Antikriegsbewegung und zu einem ausdrucksstarken Symbol für die Opposition der Gegenkultur gegen die militärische Beteiligung der USA am Vietnamkrieg und für die Solidarität mit den Soldaten, die dort kämpften. Das Lied wurde in der Popkultur ausgiebig in Darstellungen des Vietnamkriegs und der Antikriegsbewegung verwendet.
François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le 21 novembre 1694 à Paris où il est mort le 30 mai 1778, est un écrivain, philosophen 1, encyclopédiste et homme d'affaires français qui a marqué le xviiie siècle.
Figure majeure de la philosophie des Lumières, anglomane1, féru d'arts et de sciences, Voltaire marque son époque par sa production littéraire et ses engagements politiques. Son influence est décisive sur les classes fortunées libérales avant la Révolution française et pendant le début du xixe siècle.
Anticlérical mais déiste, il dénonce dans son Dictionnaire philosophique le fanatisme religieux de son époque. Sur le plan politique, il est en faveur d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Mettant sa notoriété au service des victimes de l’intolérance religieuse ou de l’arbitraire, il prend position dans des affaires qu’il a rendues célèbres : Jean Calas, Pierre-Paul Sirven, le chevalier de La Barre et le comte de Lally.
Sa production théâtrale, ses longs poèmes épiques, telle La Henriade, ses œuvres historiques et surtout pamphlétaires font de lui l’un des écrivains français les plus connus au xviiie siècle. Son œuvre comprend aussi des contes, notamment Candide ou l'Optimisme, des Lettres philosophiques, le Dictionnaire philosophique et une correspondance monumentale dont nous connaissons plus de 15 000 lettres sur un total parfois estimé à 40 0002.
Titulaire pendant quelques années d'une charge officielle d'historiographe du roi, il a publié Le Siècle de Louis XIV, Le Siècle de Louis XV et l'Essai sur les mœurs, ouvrages considérés comme les premiers essais historiques modernes3. Sa Philosophie de l'histoire fait de lui le précurseur du déterminisme historique au xixe siècle, puis de l'histoire culturelle au xxe siècle.
Tout au long de sa vie, Voltaire fréquente les Grands et courtise les monarques, sans dissimuler son dédain pour les classes populaires, mais il est aussi en butte aux interventions du pouvoir, ce qui le fera emprisonner à la Bastille et le pousse à l’exil en Angleterre. En 1749, après la mort d’Émilie du Châtelet, avec laquelle il a entretenu une liaison houleuse pendant quinze ans, il part pour la cour de Prusse mais, déçu dans ses espoirs de jouer un grand rôle auprès de Frédéric II à Berlin, il se brouille avec lui après trois ans et quitte Berlin en 1753. Il se réfugie un peu plus tard aux Délices, près de Genève, avant d’acquérir en 1759 un domaine à Ferney, sur la frontière franco-genevoise. Il ne retourne à Paris qu’en 1778, ovationné par ses partisans après une absence de près de vingt-huit ans. Il y meurt à 83 ans.
Voltaire aime le confort, les plaisirs de la table et de la conversation qu’il considère, avec le théâtre, comme l’une des formes les plus abouties de la vie en société. Il acquiert une fortune considérable dans des opérations spéculatives, surtout la vente d'armes, et dans la vente de ses ouvrages, ce qui lui permet de s’installer en 1759 au château de Ferney et d'y vivre sur un grand pied, tenant table et porte ouvertes. Le pèlerinage à Ferney fait partie en 1770-1775 du périple de formation des classes supérieures européennes sympathisant avec le parti philosophique. Investissant ses capitaux, il fait du village misérable de Ferney une petite ville prospère. Généreux, d'humeur gaie, il est néanmoins chicanier et parfois féroce et mesquin avec ses adversaires comme Jean-Jacques Rousseau, Crébillon4 ou Lefranc de Pompignan.
La Révolution française voit en lui comme en Rousseau un précurseur, si bien qu'il entre au Panthéon en 1791, le deuxième après Mirabeau. À cette même période, sur l'initiative du marquis de Villette qui l'hébergeait, le « quai des Théatins » où l'écrivain habitait à Paris au moment de sa mort sera baptisé « quai Voltaire ». Célébré par la IIIe République (dès 1870, à Paris, un boulevard, une impasse et une place5 portent son nom), il a nourri, au xixe siècle, les passions antagonistes des adversaires et des défenseurs de la laïcité de l’État et de l’école publique, et, au-delà, de l’esprit des Lumières.
"River Deep - Mountain High" ist ein Song von Ike & Tina Turner, der 1966 auf Philles Records als Titelstück ihres Studioalbums veröffentlicht wurde. Produziert von Phil Spector und geschrieben von Spector, Jeff Barry und Ellie Greenwich. Der Rolling Stone setzte "River Deep - Mountain High" auf Platz 33 seiner Liste der 500 größten Songs aller Zeiten, der NME auf Platz 37 seiner Liste der 500 größten Songs aller Zeiten. Die Rock and Roll Hall of Fame nahm ihn in die Liste der 500 Songs That Shaped Rock and Roll auf. Der Song wurde 1999 in die Grammy Hall of Fame aufgenomm